Illuminer notre regard et sublimer notre teint? C’est mission accomplie avec ce maquillage éclatant, idéal pour tous les âges. À nos pinceaux, on suit Bruno Rhéaume!
Une étape incontournable : les préparatifs!
Qui dit maquillage réussi dit teint impec. Avant d’entrer dans « le vif du look », on prend le temps d’appliquer du cache-cernes sous les yeux et sur les paupières, puis d’étendre un fond de teint naturel partout sur notre visage. On fait preuve de parcimonie et on estompe bien, question d’éviter l’accumulation de produits dans les ridules. On donne aussi un coup de poudre libre pour fixer le tout : la base doit rester solide!
On définit ensuite les sourcils au crayon, par petits coups, de l’extérieur vers l’intérieur, puis on peigne pour diffuser la couleur. Enfin, on enduit les lèvres d’un baume hydratant : il agira pendant le maquillage et facilitera l’application de la couleur sur la bouche – si on pense à éponger l’excédent avant!
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On commence par approfondir le regard avec un fard taupe très pigmenté, qu’on applique à l’aide d’un pinceau en biseau semi-rigide. On insiste sur la paupière supérieure : on dépose le fard de l’extérieur vers l’intérieur, en nous arrêtant un peu après le milieu, question de ne pas alourdir l’œil. Quant à la paupière inférieure, on fait bien attention de ne pas la surcharger : on souligne subtilement la racine des cils, avec un pinceau plus petit au besoin.
On craint d’en mettre trop ? Utiliser le dos de notre main comme « palette » et y déposer un peu de fard avant l’application nous empêchera de saturer notre pinceau.
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On vient illuminer l’œil en recouvrant la paupière mobile d’une ombre à paupière irisée, aux tons dorés, jusqu’à l’os de l’arcade sourcilière. (Conseil de pro : si nos paupières présentent des plis ou des ridules, on évite à tout prix les fards pailletés, qui ont tendance à s’y incruster!) On ajoute un peu d’or le long des cils du bas et sous les sourcils, en prenant soin de bien suivre la ligne et de ne pas descendre trop bas. Pour donner de la dimension au maquillage, on rehausse l’arcade sourcilière d’une touche d’orangé, et on trace une fine ligne de crayon nacré sur la paupière supérieure, jusqu’au coin interne de l’œil.
La clé d’un effet lumière réussi? Un mélange harmonieux, bien dosé, des teintes. C’est pourquoi on s’équipe de deux pinceaux estompeurs, qui nous permettront de fondre harmonieusement les couleurs : un petit, rond de préférence, pour la paupière inférieure, et un plus imposant pour le haut. On essaie, autant que possible, de garder les yeux ouverts en travaillant : on pourra juger de l’effet au fur et à mesure et ajuster certains détails au besoin.
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On achève de sublimer les yeux en fixant quelques faux cils individuels le long de la paupière supérieure. Pour garder le naturel, on veille à ne pas trop les rapprocher les uns des autres, et on s’assure que la goutte de colle qu’on dépose à la racine ne soit pas visible : une fois la colle sèche, on peut appliquer du mascara en insistant sur les racines, puis retoucher avec une microbrosse.
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On vivifie le teint : avec un pinceau plat, idéal pour diffuser avec délicatesse, on dépose un peu d’illuminateur sur la partie bombée des pommettes (celle qui saille quand on sourit). On complète par un soupçon de fard corail, qu’on applique des tempes vers l’avant – ou vers le bas si on a un visage rond, pour mieux définir les contours.
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On fait briller les lèvres en mélangeant, au pinceau (et sans crayon contour!), un beige clair et un corail doux, légèrement translucides.
Il ne reste qu’à ajouter de la poudre matifiante aux endroits qu’on ne veut pas voir briller, et voilà!