Ils manient le pinceau avec brio et créent un look ultradurable en moins de deux. Comment imiter les artistes maquilleurs? Voici cinq essentiels de pro pour y arriver.
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UNE BASE EFFICACE
L’épiderme est notre toile de fond. Il est donc important d’unifier sa surface avant de la maquiller. Ce qu’on recherche? Un soin hydratant adapté à notre type de peau, qui comble rides et ridules, resserre les pores dilatés et matifie le teint au besoin. En donnant au visage une texture lisse, la formule améliorera la définition et la tenue du maquillage.
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Les bons pinceaux
Investir dans quatre ou cinq pinceaux de qualité : voilà un geste qu’on ne regrettera pas! Poils plus souples, contact plus doux, application plus facile...la différence est notable.
Les musts à avoir sous la main?
- Un pinceau à fond de teint, qui aidera à doser la formule et à obtenir un résultat uniforme;
- Un pinceau correcteur, qui nous permettra de travailler les détails ou d’effacer nos petites bévues;
- Un pinceau à définition, qui viendra diffuser et estomper l’ombre à paupières;
- Un pinceau à poudre multifonctions, qui étendra le fard à joues autant que le bronzeur ou la poudre libre.
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Un mascara durable
Rien de pire qu’un mascara qui coule pour miner le regard! Il est donc important de trouver le bon. On recherche une formule longue tenue, qui souligne les cils sans créer de grumeaux. On s’assure aussi que l’effet soit adapté à nos besoins : si nos cils sont courts et denses, on opte pour un produit allongeant; s’ils sont longs et minces, on se tourne vers un mascara volumisant.
Pour un résultat optimal, on fait vibrer la brosse du mascara à la racine des cils supérieurs, en faisant de micromouvements de gauche à droite. On remonte en continuant ces mini-zigzags, question de distribuer également la formule et d’empêcher les cils de s’agglomérer. La méthode idéale pour structurer le regard ou agrandir un œil petit!
Le saviez-vous? Votre mascara n’est pas éternel. Pour éviter la prolifération des bactéries, remplacez-le aux trois mois.
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Une boite à sourcils
Les sourcils marqués ont la cote! Véritable signature du regard, ils méritent qu’on les travaille avec soin. On commence par définir clairement leur forme avec quelques coups de brosse. On se sert ensuite d’un pinceau en biseau et d’une poudre soyeuse pour combler les espaces clairsemés : on tapote légèrement dans le sens du poil, puis on sature en retouchant l’ensemble de la ligne. Une autre option? Utiliser un crayon et colorer par petits coups en suivant l’implantation naturelle. Il ne reste qu’à brosser une nouvelle fois pour bien diffuser la couleur, et à appliquer un gel ou une cire fixatrice imperméable comme touche de finition.
Pour obtenir la couleur qui se fondra parfaitement à nos sourcils, on mélange plusieurs teintes de poudres ou de crayons.
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Un correcteur magique
Cernes, taches pigmentaires, boutons... Les correcteurs n’ont pas de pitié pour les imperfections. Et c’est ce que les artistes maquilleurs adorent! Pour une solution pratique, on choisit un correcteur en bâton, qui se glisse facilement dans le sac à main et permet de faire des retouches au besoin. Et pour une teinte personnalisée, on se tourne vers les portfolios et leurs nombreuses nuances.
Comment savoir à quelle teinte se vouer? Le cercle chromatique est un bon repère : si deux couleurs se font face, c’est qu’elles sont opposées, donc qu’elles se neutraliseront. Par exemple, le vert dissimulera les rougeurs, l’orangé cachera les veines bleutées et le jaune atténuera les cernes violets.